Ces tableaux ne donnent pas de réponses : ils posent des ressentis. Ils parlent du désir d’équilibre, de sérénité, et de la beauté du chemin, même lorsqu’il demeure incertain.
Insaisissables, ce sont des fragments de lumière, des instants suspendus — des invitations à ressentir, à se perdre, à écouter ce qui vibre entre fluidité et silence. C’est une invitation à accepter le flou, à embrasser l’impermanence, et à trouver, peut-être, un peu de paix dans le mouvement même de la recherche.