Le dialogue qu’Alexander met en place entre ses deux passions met en perspective leur complémentarité. Le cartoon est vif, ironique et satirique. Héritier d’une tradition internationale de la caricature, il confine l’absurde à l’instantané. Le dessin d’architecture évoque une dimension intemporelle autant pour l’artiste que pour son œuvre : formé à l’Institut d’Architecture de Moscou, la lenteur du dessin contemplatif s’étire jusqu’aujourd’hui.
Ainsi, cette exposition se présente comme une oscillation entre deux désirs de faire art, entre humour et observation.


