Ainsi, l’artiste et le spectateur s’unissent dans l’affranchissement des contraintes liées à la forme, à la structure et à l’intention. En abandonnant partiellement le contrôle, l’art devient un véhicule pour l’imprévisible et l’inconnu. Sonder le mouvement, la fluidité et l’épreuve du temps, relève de la méditation et de l’introspection. En séchant, la peinture se déplace et se fixe, se transformant sous nos yeux.
À travers ce processus, Hugo cherche à évoquer des sentiments de désordre et d’émotions conflictuelles, invitant les spectateurs à s’engager dans leur contemplation et à canaliser leurs propres expériences.


