La peinture s’impose alors comme une évidence, émergeant lentement mais avec certitude. À partir de 2018, il prend ses distances avec l’instantanéité propre à la photographie pour s’orienter vers une approche plus méditative. À travers son travail sur les couleurs et leurs nuances, il propose une parenthèse contemplative, une respiration face à l’agitation du monde.
Fasciné par l’infiniment grand et l’infiniment petit, il s’inspire des motifs de l’univers et puise dans la nature environnante, notamment celle qu’il côtoie près de son atelier aux abords de Fontainebleau.


